Politique

Une lettre ouverte, titrée « The Elephant in the Room », a été lancée au milieu du mois d’août pour « [attirer] l’attention sur le lien direct entre la récente attaque israélienne contre le système judiciaire et son occupation illégale de millions de Palestiniens dans les territoires palestiniens occupés. » À ce jour signée par un peu plus de 2.300 personnes – pour la plupart d’entre elles des universitaires (dont d’éminentes figures de la recherche en histoire juive) et personnalités israéliennes ou de la diaspora américaine – elle a pour double caractéristique de qualifier Israël de « régime d’apartheid » et de réunir des signataires qui, en général, ne se rejoignent pas sur cette qualification. K. s’interroge sur le sens de ce mouvement d’ampleur.

Près de 2500 personnalités publiques, pour la plupart israéliennes et américaines, ont signé une lettre ouverte, The Elephant in the room, appelant à s’élever contre le « but ultime » de la réforme judiciaire portée par le gouvernement israélien actuel : le maintien du « régime d’apartheid ». Cette dernière qualification est contestable – et contestée même par certains des signataires de la pétition. Pourquoi néanmoins l’avoir signée ? Réponse de Joel Whitebook.

Près de 2500 personnalités publiques, pour la plupart israéliennes et américaines, ont signé une lettre ouverte, The Elephant in the room, appelant à s’élever contre le « but ultime » de la réforme judiciaire portée par le gouvernement israélien actuel : le maintien du « régime d’apartheid ». Cette dernière qualification est contestable – et contestée même par certains des signataires de la pétition. Pourquoi néanmoins l’avoir signée ?
Réponse d’Abe Silberstein.

Près de 2500 personnalités publiques, pour la plupart israéliennes et américaines, ont signé une lettre ouverte, The Elephant in the room, appelant à s’élever contre le « but ultime » de la réforme judiciaire portée par le gouvernement israélien actuel : le maintien du « régime d’apartheid ». Cette dernière qualification est contestable – et contestée même par certains des signataires de la pétition. Pourquoi néanmoins l’avoir signée ?
Réponse de Sarah et Guy Stroumsa.

Près de 2500 personnalités publiques, pour la plupart israéliennes et américaines, ont signé une lettre ouverte, The Elephant in the room, appelant à s’élever contre le « but ultime » de la réforme judiciaire portée par le gouvernement israélien actuel : le maintien du « régime d’apartheid ». Cette dernière qualification est contestable – et contestée même par certains des signataires de la pétition. Pourquoi néanmoins l’avoir signée ?
Réponse de Dan Diner.

90 ans après l’accession d’Hitler au pouvoir, la philosophe Julia Christ dresse un état des lieux de la mémoire allemande. À côté de l’indéniable travail de réparation et de repentance accompli outre-Rhin, elle pointe les impensés, les failles et les impasses mnésiques qui déforment le regard porté sur le passé nazi ainsi que l’érosion progressive du sentiment de culpabilité qui en découle. Entretien réalisé, en partenariat avec Akadem, par Rafaël Amselem.

Qu’est-ce que la droite de Giorgia Meloni entend exactement par Patrie et Nation ? De quelle Italie rêve-t-elle quand elle martèle aujourd’hui ces deux notions ? Simone Disegni se pose la question en revenant sur deux histoires d’enfants juifs italiens : celle d’Edgardo Mortara, arraché à sa famille par le Vatican en 1858, et celle de Franco Cesana, partisan mort au combat en 1944 à l’âge de 13 ans.

Cet été, K. vous propose de retrouver chaque semaine une sélection de quatre articles, déjà parus dans nos pages, mais rassemblés pour l’occasion autour de  quelques thématiques phares. Cette semaine : un dossier sur la situation politique que traverse Israël, avec des textes de Guy G. Stroumsa, de Bruno Karsenti, de Sari Nusseibeh et de Danny Trom.

Cet été, K. vous propose de retrouver chaque semaine une sélection de quatre articles, déjà parus dans nos pages, mais rassemblés pour l’occasion autour de  quelques thématiques phares. Cette semaine : un dossier sur la gauche, les Juifs et l’antisémitisme aujourd’hui, avec des textes de Milo Lévy-Bruhl, Jonas Pardo, Sylvaine Bulle et Hugo Latzer.

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Merci au mahJ de nous permettre d’utiliser sa photothèque, avec le voyage visuel dans l’histoire du judaïsme qu’elle rend possible.

La revue a reçu le soutien de la bourse d’émergence du ministère de la culture.