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Le vendredi 26 janvier dernier, la Cour internationale de justice (CIJ) s’est prononcée, suite à la demande de l’Afrique du Sud d’ordonner à Israël de cesser ses opérations militaires à Gaza, arguant qu’il y existait un « risque sérieux de génocide ». La réponse est claire : la CIJ n’envisage pas qu’il y ait un génocide en cours. Elle a même explicitement affirmé que rien dans les mesures prononcées ne permettait de conclure quoi que ce soit à cet égard. Reste la portée politique de l’ensemble de la procédure engagée qui doit être analysée. Où il s’agit de se demander pourquoi l’Afrique du Sud a salué une « victoire décisive pour l’État de droit international… »

La marche contre l’antisémitisme du 12 novembre dernier a été perçue comme un succès. Les Juifs ne sont pas (si) seuls. La Rédaction de la Revue K. se demande aujourd’hui — car les enjeux subsistent — quelles sont les prochaines étapes nécessaires à une véritable prise de conscience face à la force de l’antisémitisme en France.

Présentées sous forme d’animation les vidéos conçues par le Center for Peace Communications mènent des projets de mise en lumière des conditions d’existence réelles des populations civiles au Moyen-Orient. Pour ce qui est Gaza, elles font voir un quotidien d’oppression, de coercition belliciste et d’islamisme. Démocratiquement élu en 2006, le Hamas a immédiatement mis la société civile sous sa coupe, de sorte que la population s’est trouvée prise en étau entre les rigueurs du blocus israélo-égyptien et les agissements du pouvoir palestinien en place qui n’hésite pas à les utiliser à ses fins destructrices, s’arrogeant impunément le sens de la cause palestinienne et ce qu’elle a en elle-même de juste.

Tout ce qu’est le Hamas, c’est un groupe intégriste, fascisant et meurtrier, qui fait de crimes contre des populations civiles un point de fierté, et qui a eu les mains libres durant de longues heures dans le sud d’Israël – assez pour que, pris d’une passion exterminatrice, il massacre autant de juifs qu’il lui était possible de le faire.

Une lettre ouverte, titrée « The Elephant in the Room », a été lancée au milieu du mois d’août pour « [attirer] l’attention sur le lien direct entre la récente attaque israélienne contre le système judiciaire et son occupation illégale de millions de Palestiniens dans les territoires palestiniens occupés. » À ce jour signée par un peu plus de 2.300 personnes – pour la plupart d’entre elles des universitaires (dont d’éminentes figures de la recherche en histoire juive) et personnalités israéliennes ou de la diaspora américaine – elle a pour double caractéristique de qualifier Israël de « régime d’apartheid » et de réunir des signataires qui, en général, ne se rejoignent pas sur cette qualification. K. s’interroge sur le sens de ce mouvement d’ampleur.

Cet été, K. vous propose de retrouver chaque semaine une sélection de quatre articles, déjà parus dans nos pages, mais rassemblés pour l’occasion autour de  quelques thématiques phares. Cette dernière semaine avant la rentrée de septembre : « Vers le Maghreb »… Avec des textes de Cléo Cohen, Joseph Benamour et Anshel Pfeffer.

Cet été, K. vous propose de retrouver chaque semaine une sélection de quatre contenus, déjà parus dans nos pages, mais rassemblés pour l’occasion autour de  quelques thématiques phares. Cette semaine, nos quatre Podkasts avec Joan Sfar, Lola Lafon, Yolande Zauberman et Wieworka. Tous les entretiens ont été réalisés par Avishag Zafrani.

Cet été, K. vous propose de retrouver chaque semaine une sélection de quatre contenus, déjà parus dans nos pages, mais rassemblés pour l’occasion autour de  quelques thématiques phares. Cette semaine : L’Ukraine et la Russie en trois textes de Yeshaya Dalsace, Ivan Segré, Boris Czerny et un entretien avec Le Grand Rabbin de Moscou, en exil, Pinchas Goldschmidt.

Cet été, K. vous propose de retrouver chaque semaine une sélection de quatre articles, déjà parus dans nos pages, mais rassemblés pour l’occasion autour de  quelques thématiques phares. Cette semaine : quatre essais-témoignages à la première par Ruben Honigmann, Mona El Khoury, Danny Trom et Grigory Kanovitch.

Avec le soutien de :

Merci au bureau de Paris de la Fondation Heinrich Böll pour leur coopération dans la conception du site de la revue.

Merci au mahJ de nous permettre d’utiliser sa photothèque, avec le voyage visuel dans l’histoire du judaïsme qu’elle rend possible.